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Guerre du M23 : Les signaux sont au rouge pour la RDC !

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Les nouvelles ne sont pas bonnes pour la partie congolaise. Animé par ses intentions expansionnistes, le groupe armé pro-rwandais M23 tente de s’emparer d’autres localités dans l’objectif de faire plier les autorités congolaises.

Le matin de ce mercredi 7 février encore, des combats sont signalés en divers endroits entre l’ennemi et l’armée congolaise aidée par les jeunes résistants Wazalendo.

La cité où tout semble se jouer maintenant est celle de Saké, à moins de 30 kms de la ville de Goma (Nord-Kivu). Les forces armées opposent une résistance au M23 dans le groupement Kamuronza, en territoire de Masisi.

Des informations sur place mentionnent que des détonations sont entendues depuis le matin à Murambi-Neenero, à Malehe et dans une partie de Kingi, des localités autour de Saké.

Pourtant, nombreux Congolais qui fuyaient les combats à Shasha ou encore Kirotshe avaient déjà trouvé refuge dans la cité de Saké qui, aujourd’hui, semble dans le viseur de l’ennemi. D’ailleurs, à son tour, Saké se vide de ses habitants qui prennent la direction de Goma en attendant de se rassurer que la situation est contrôlée par les FARDC.

Pour l’instant, la route Sake-Goma est remplie de déplacés. Des sources locales rapportent que le M23 est déjà dans le village Kiuli et tente d’ouvrir plusieurs fronts mais est contenu par l’armée congolaise.

Il faut dire que la cité de Saké est très stratégique. Elle est celle qui ouvre sur Goma et sa prise par l’ennemi est une menace directe pour la ville.

A en croire les autorités congolaises, tout est déjà mis en oeuvre pour que ni la cité de Saké, ni la ville de Goma ne passe entre les mains du M23.

« Nous saisissons cette occasion pour apaiser les esprits et rassurer nos populations du Nord-Kivu et des environs. Les FARDC sont obligées de se battre jusqu’à la dernière goutte de sang, elles sont obligées de réussir. C’est une question existentielle, on ne peut pas se permettre de baisser pavillon, sinon le Congo n’existera pas« , a indiqué Sylvain Ekenge, porte-parole des FARDC.

Charles Mapinduzi

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