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Simaro Ngongo : en confirmant Félix Tshisekedi vainqueur de la présidentielle, la Cour constitutionnelle choisit l’opprobre, enterre la constitution et tout l’arsenal de droit congolais

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Mardi 9 janvier dernier, la Cour constitutionnelle a rendu ses arrêts sur les requêtes déposées en contestation de la dernière présidentielle qui a donné vainqueur Félix Tshisekedi selon les résultats publiés par la CENI.

Par exemple, au sujet de la requête du candidat malheureux Théodore Ngoy, la Haute Cour a soutenu qu’elle était recevable mais non fondée. Dans celle-ci, Théodore Ngoy a demandé l’annulation des scrutins suite à la non publication du nombre exact des électeurs enrôlés, la permission donnée aux électeurs possédant des cartes illisibles de voter, l’absence des témoins dans certains bureaux de vote, la remise des bulletins de vote à certaines candidats, la prorogation des jours de vote ou encore la détention des matériels de vote par certains candidats.

En dépit de ces irrégularités dénoncées, la justice congolaise a tranché en dernier ressort, confirmant les 73,34% obtenus par Félix Tshisekedi.

Mais, pour Simaro Ngongo de la coalition pour l’action et le soutien à l’Etat de droit, la Cour constitutionnelle vient de prolonger l’illégitimité au sommet de l’Etat. Il parle de l’opprobre jetée au pays et une inconstitutionnalité politique qui s’installe. Il accuse la Haute d’être acquise au régime.

« Kamuleta choisit l’opprobre et l’illégitimité pour Tshisekedi. La Cour anticonstitutionnelle de l’UDPS donne raison à Corneille Nanga. Tshisekedi ouvre une nouvelle page de son inconstitutionnalité politique en République démocratique du Congo. L’homme se conforte dans la fraude, la corruption et le vol. Par sa combine de ce mardi 9 janvier, Kamuleta enterre la constitution et tout l’arsenal de droit congolais. Ainsi, la République se meurt », écrit-il.

Depuis le début du processus électoral, l’opposition accusait le pouvoir en place de préparer une fraude en faveur du président sortant. Le FCC de Kabila par exemple qui refusait les juges de la Cour constitutionnelle et les membres de la CENI a même boycotté les scrutins.

Charles Mapinduzi

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