Nicolas Kazadi, architecte de la stabilité financière et cible de campagnes diffamatoires, est aujourd’hui l’artisan malmené.
Depuis quelques temps, le Ministre des Finances, Nicolas Kazadi, est la cible d’attaques de la part de certains internautes et journalistes. Souvent sans fondements, ces attaques mettent en péril la réputation et le travail acharné d’un homme qui a contribué significativement à la stabilité financière de la République Démocratique du Congo.
Malgré moult obstacles, Nicolas Kazadi est parvenu à mobiliser les ressources nécessaires pour atteindre un budget annuel de 16 milliards USD, un exploit remarquable dans le contexte économique actuel.
Assumant la tutelle des régies financières, il a supervisé la mise en place de systèmes efficaces de collecte et de décaissement des fonds qui ont optimisé les ressources disponibles et leur affectation aux différents secteurs prioritaires du pays.
Il importe de souligner que les attaques dirigées contre Nicolas Kazadi ne sont pas seulement de nature personnelle.
Il s’agit d’une remise en question de l’architecture de gestion mise en place durant le premier quinquennat du chef de l’État.
En tant que premier responsable des finances publiques, il agit dans le cadre des décisions prises par le gouvernement dans son ensemble, et ne peut être tenu responsable des décisions prises en amont dans divers ministères.
De plus, accuser le ministre des Finances de surfacturation ou d’autres irrégularités sans comprendre les processus complexes et les engagements contractuels du gouvernement démontre une méconnaissance flagrante des rouages administratifs.
Un contrat signé au niveau d’un ministère sectoriel ne prend en réalité forme qu’après l’avis de non objection de la DGCMP, puis le quitus du conseil des Ministres.
Donc, le ministre des Finances en payant, ne fait que respecter une procédure dans laquelle il n’est qu’un intervenant final. Il n’a aucun pouvoir de remettre en question quoi que ce soit sur le processus élaboré en amont.
Il est crucial de reconnaître le rôle essentiel de Nicolas Kazadi dans la mise en œuvre de politiques économiques cohérentes et dans l’alignement de la RDC sur les objectifs fixés par les institutions internationales telles que le Fonds monétaire international et la Banque mondiale.
En ces temps critiques, il est impératif que l’Union Sacrée de la Nation reste vigilante et unie pour défendre ses membres contre les attaques injustifiées.
Nicolas Kazadi mérite non seulement la reconnaissance de tous pour ses réalisations, mais aussi le respect et la protection de sa famille politique et de ses collègues au sein du gouvernement.
Il est temps de mettre fin aux campagnes diffamatoires et de reconnaître le travail remarquable accompli par cet homme d’État dévoué au service de son pays.
JN avec LE MAXIMUM