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Arrestation de Stanis Bujakera : Quand le régime Tshisekedi oublie et crashe sur la main qui l’a amené à la gloire !

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Le journaliste congolais, correspondant de Jeune Afrique et directeur de publication adjoint de actualité.cd, est aux arrêts depuis le vendredi 08 septembre dans la soirée.

Il a été appréhendé à l’aéroport international de Ndjili alors qu’il s’apprêtait à prendre l’avion pour Lubumbashi dans la province du Haut-Katanga.

Détenu au cachot du commissariat provincial de la police nationale congolaise, ville de Kinshasa pendant trois jours, ce professionnel des médias a été transféré hier lundi au parquet de grande instance de Gombe et placé sous mandat d’arrêt provisoire.

Ce traitement que subi en ce moment, ce chevalier de la plume, ne laisse personne indifférent surtout qu’il est reconnu pour sa capacité à donner des informations certifiées et en temps réel et à tendre son micro aux opposants.

La grande Bretagne, les USA, la Belgique et tend d’autres pays sont montés au créneau pour dénoncer les violations flagrantes dans ce dossier et exiger sa libération immédiate et sans condition.

Plusieurs journalistes et professionnels des médias, considèrent l’arrestation de Stanis Bujakera sous le règne de Tshisekedi, comme un poignard dans le dos de la presse congolaise. Pour eux, le président sortant a crashé sur la main qui l’a nourri depuis l’opposition et l’a emmené au pouvoir.

Pour ceux qui ne connaissent pas Bujakera, c’est parmi les journalistes qui ont refusé les billets de banque du président honoraire, Joseph Kabila, pour soutenir la campagne présidentielle du CACH, avec le ticket gagnant, Félix Tshisekedi.

La justice congolaise reproche à Stanis Bujakera la propagation des faux bruits et fausses informations, lesquelles ont été publiées dans les articles de Jeune Afrique en fin du mois d’août sur l’assassinat de Chérubin Okende.

D’après ces informations, il existerait une note interne de l’ANR qui explique mieux les circonstances de l’assassinat de Chérubin Okende. Selon Cette note l’ancien ministre des transports serait mort étouffé par les agents de l’ANR à l’aide d’un sachet.

Le gouvernement congolais dément cette information et accuse ce correspondant de Jeune Afrique en RDC d’être derrière la création de cette note pourtant l’article en question n’a jamais été signé par lui.

Mardochée Mpyana Kanku

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