Les assaillants choisissent de faire un coup d’Etat dans un palais qui se trouve près du fleuve sans au préalable préparer un bateau de secours pour leurs fuites au cas où ils allaient échouer.
Les assaillants ayant fait un live de leur attaque, les militaires décident aussi de répliquer avec un autre live comme s’ils cherchaient le buzz.
Seulement, cette fois ci le live porte sur l’exécution des assaillants (selon leurs humeurs) alors que ces derniers se trouvaient déjà arrêté et sans défense (…).
La tentative de coup d’Etat s’est fait à 4h, l’armée reprend le contrôle à 7h. Entre temps, pas de couvre-feu, ni d’alerte à la population, par contre le ministre national de l’intérieur décide d’autoriser le concert au stade à 10h juste 3h après l’incident pendant que le gouverneur l’a interdit.
Un jour après, il y a fuite d’information sur un probable couvre feu à 21 h que le ministre va devoir démentir en disant à la population qu’il n’y a pas une telle décision qui a été prise.
24h après, ils annoncent les opérations mixtes avec l’armée pour traquer les complices dans la ville où le concert s’est déroulé 3h après le coup d’Etat .
Le chef de la garde du palais de la nation n’est pas toujours interpellé (…), les militaires commis à la garde ce jour-là non plus.
Sans oublier monsieur Éric kuba, le conseiller de nanga. Quid de son enquête ?
Les propos de Kabuya sur les turbulences du régime dans les jours à venir (…).
N.B: Nous sommes opposants de Monsieur felix tshisekedi tshilombo, fatshi béton, mukwatombolo, mwa mayi, le roi soleil, nsubu wa bilumbu, le grand mukishi. mais nous ne sommes pas opposants de l’institution président de la république symbole de l’unité nationale, d’où nous sommes tenus de protéger cette institution et nous voulons voir claire dans cette affaire.
Rédaction