Les fils du pays ont décidé de lever pour faire face au régime Tshisekedi.
Depuis ce matin, le mouvement politico- militaire de l’Alliance Fleuve Congo vient d’être rallié l’opposant Jean- Jacques Mamba, député honoraire de la 3e législature et ancien porte-parole du Mouvement de Libération du Congo cher à Jean-Pierre Bemba Gombo.
A en croire les cadres de l’AFC, ce mouvement n’est pas une rébellion contre la République. Bien au contraire, il s’agit d’une révolution démocratique pour remettre l’ordre constitutionnel en place.
« Les Congolaises et Congolais de tous les horizons, mus par la volonté commune de préserver l’unité nationale, et réunis autour des idéaux de paix, de justice. de liberté, de cohésion nationale, de stabilité et de consolidation du pacte républicain, ont décidé, sur le fondement de l’article 64 de la Constitution, d’unir force, courage et intelligence en créant l’Alliance Fleuve Congo (AFC) pour faire barrage à la dérive totalitaire de monsieur Tshisekedi», a déclaré Jean- Jacques Mamba Kabamba, candidat malheureux aux législatives de 2023, à la presse belge.
Ancien président de la CENI, Corneille Nangaa, mobilise les congolais pour le départ de Félix Tshisekedi qui est un « danger public au sommet de l’État», avait estimé Jean- Marc Kabund dans son illustre conférence de presse du 18 juillet 2022.
Depuis l’annonce de la création de l’Alliance Fleuve Congo, Nangaa enregistre de plus en plus les appels à l’adhésion et au rassemblement de toutes les volontés pour mettre fin à la dictature de Tshisekedi. La République attend son libérateur ou est-elle plus qu’avant en danger ? A chacun de conclure selon la compréhension de la gestion de la res publica.
Par Gédéon ATIBU
